Tout le monde les connait.
Certains les pratiquent.
Une chose est sûre, c’est que les douces violences ou VEO font parler d’elles.
On nous dit, pour le bien de nos enfants « faut pas dire si, faut pas faire ça », c’est mauvais pour leur développement.
Mais concrètement, qu’est ce qu’on peut faire pour les éviter avec les enfants?
Je vous dis tout ça tout de suite.
Ce qu’il ne faudrait pas dire pour éviter les douces violences
1- Tu n’écoutes jamais
C’est faux. Déjà on dit ça en sous-entendant « tu n’obéis jamais ». Alors qu’en réalité, un enfant écoute mais il choisi de faire différemment. Le risque à répéter cela est qu’effectivement, il n’écoute pas.
Donc, expression à bannir.
2- Je te l’avais dit / je t’avais prévenu
Quand on dit « attention, tu risque de tomber » et que l’enfant tombe, difficile de s’empêcher de lui rappeler qu’on l’avait prévenu. Oui mais ça sert à rien.
Il a entendu, testé par lui-même et constaté le résultat. Rappeler qu’on avait prévenu est humiliant, ça appui le fait que le jugement de l’enfant est mauvais.
Il vaut mieux demander à l’enfant si ça va.
3- Si tu fais pas ce que je te dis, je …
Ahhh, le chantage… Qui aime le chantage?
J’ai trouvé une alternative qui marche bien. Je la laisse choisir entre 2 possibilités en lui faisant comprendre que c’est important. Ça marche à tous les coups.
4- Tu comprends pas ou quoi
Ce n’est pas parce qu’un enfant ne comprend pas quelque chose qu’il est idiot.
C’est plus constructif de lui réexpliquer.
5- Non, je suis fâchée
Refuser quelque chose parce qu’on est fâché ou en colère est contre productif.
Il vaut mieux en parler et exprimer son ressenti.
6- Arrête tes bêtises
Je rappelle que les bêtises n’existent pas. Il n’y a que des expériences, ratées mais aussi réussies.
Alors si l’enfant tente des expériences qui rates souvent, peut-être lui proposer des expériences sous contrôle, sous forme de jeux. Ou expliquer les conséquences (même si les enfants ne peuvent comprendre les conséquences avant 5-6 ans).
7- Il y a des enfants qui meurent de faim dans le monde alors finis ton assiette
Alors dans le genre conséquences dramatiques, c’est dur de faire pire.
L’enfant n’est pas responsable de la famine alors pas besoin de le faire culpabiliser.
Combien de personnes ont des soucis avec la nourriture à cause de ce genre de réflexion?
Et puis ce n’est pas en disant cela que l’enfant va apprendre à gérer les quantités.
8- Tu me fais mal
Quand on dit ça à un enfant, il pense ensuite que quand on a mal, quelque soit la raison, c’est de sa faute et il culpabilise.
Il vaut mieux dire « les coups de pied ça fait mal, le doigt dans l’œil aussi, etc. »
9- Arrêtes de torturer les animaux
C’est normal qu’un enfant fasse du mal aux animaux car il ne sait pas, il ne se rend pas compte.
De dire cela lui apprend ce qu’est la torture, mais pas comment faire autrement.
Il faut donc lui montrer comment faire, lui montrer les signes de l’animal lorsqu’il aime ou pas.
10- Dépêche-toi
Ça vous aide, vous, à être efficace quand on vous met la pression?
Il vaut mieux trouver des alternatives sous forme de jeux: faire la course par exemple.
11- Tu comprendras plus tard
Il faut être idiot naïf pour croire que les enfants ne comprennent pas. Certes, il faut simplifier, mais ça fait plus l’effet « j’ai pas envie de t’expliquer » qu’autre chose ou « je sais pas ». Il vaudrait mieux dire « je sais pas » que « tu comprendras plus tard ». Et puis les enfants peuvent entendre des choses, même difficiles, tout dépend de la façon de leur dire.
12- T’es trop petit pour faire ça
Sincèrement, vous avez une liste vous de tout ce qu’on peut faire et à quel âge?
Sérieusement, c’est mauvais pour sa confiance en lui de douter de ses capacités.
Si un enfant se lance à tenter quelque chose, c’est qu’il se sent capable. Il reconnait instinctivement le danger (la hauteur par exemple).
13- Tu m’énerve
On a souvent la sensation que c’est l’enfant qui est énervant, mais c’est plutôt la situation ou un acte qu’à fait l’enfant. Alors il vaut mieux dire que c’est telle attitude ou telle action qui est dérangeante.
14- Arrêtes de te tripoter
Ce n’est pas très judicieux d’empêcher un enfant de se découvrir.
Lui proposer d’aller faire ça dans sa chambre, dans l’intimité est plus approprié que de l’empêcher.
15- Tu crois pas que t’as passé l’âge de faire ça?
Heu, c’est la suite de la liste du n°12?
Franchement, quel est le problème à ce qu’un enfant est besoin de plus de temps pour bien intégrer quelque chose?
16- T’es bêtes ou quoi?
Le meilleur moyen de le faire devenir bête.
17- J’ai pas envie de te courir après
Dire un truc pareil, c’est vraiment croire au Père Noël.
Dans la tête de l’enfant, ça donne ça: « ben cours pas »… Je pense que ce n’est pas le meilleur moyen de se faire comprendre.
Ce n’est pas vraiment une douce violence, mais cela rappelle l’importance d’une communication claire.
18- Tu fais quoi là?
Soit on comprend très bien ce qu’il est entrain de faire et c’est une façon de montrer qu’on est pas d’accord: pas clair du tout.
Soit on ne comprend pas et… ben on lui demande ce qu’il fait.
19- Arrêtes de pleurnicher
Si l’enfant pleurniche, pleure, etc., c’est qu’il y a une raison.
Essayer de comprendre ce qui ne va pas et l’aider à aller mieux est bien plus efficace pour qu’il s’arrête.
20- Fais le bisous
Vous aimez vous quand on vous oblige à faire un bisous? Avouez que pour certaines personnes, non.
Laissez-le gérer son corps comme il en a envie. Expliquez qu’il peut dire simplement bonjour ou serrer la main ou tout signe qu’il acceptera de faire pour marquer le coup.
21- Ne m’oblige pas à…
Un enfant n’oblige jamais à rien. Si vous vous sentez à bout d’argument, ce n’est pas une raison pour lui faire peser cela.
Expliquez-lui plutôt que vous avez vraiment besoin, ou que c’est très important.
22- Tu as vu lui comme il est sage
La comparaison est vraiment à éviter (voir cet article: la comparaison freine l’évolution). Chacun est différent alors on ne peut comparer. Comparer est le meilleur moyen de baisser la confiance et l’estime de soi.
Ce qu’il faudrait ne pas faire pour éviter les douces violences
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23- Nettoyer le visage sans prévenir
Cela n’aide pas l’enfant à s’approprier son corps si on en dispose comme on veut. Et puis ce n’est pas agréable.
24- Déshabiller devant tout le monde
Les situations humiliantes sont vraiment à éviter.
25- Mentir ou cacher la vérité
Si vous voulez élever un futur menteur, c’est un bon moyen.
Un enfant sent toujours si on lui ment ou si on lui cache quelque chose. Alors inutile de croire le contraire. Mais pensez à adapter votre langage.
Et puis n’oubliez pas que lorsque vous mentez à une autre personne devant lui, il vous voit faire…
26- Trainer par la main
C’est très humiliant de se faire trainer de force. Ça touche beaucoup d’aspects fragile de l’adulte en devenir (confiance, appropriation de son corps, etc.).
27- Priver de dessert
Le dessert est un élément du repas aussi important que le reste alors ce n’est pas judicieux de le supprimer. Et puis les punitions, c’est pas le top (voir cette vidéo: les punitions).
28- Ne pas répondre à ses questions
Un enfant a des attentes, des besoins, des questions pour mieux comprendre le monde dans lequel il évolue. Ne pas répondre à ces questions revient à l’ignorer ou à ne pas le considérer. C’est très mauvais pour sa confiance en lui.
29- Refuser un câlin parce qu’on est fâché
C’est un réflexe que beaucoup de personne ont. Comme une réaction de rejet.
Ce n’est pas bon pour soi car un câlin aide à se calmer grâce aux hormones que cela déclenche.
Ce n’est pas bon pour lui car l’enfant va finir par croire que l’amour, l’affection est une récompense.
30- Forcer à faire quelque chose
Tout le monde déteste ça. Et l’enfant le fait savoir clairement.
Il vaut mieux l’amener à faire ce que l’on veut par le jeu par exemple.
31- Parler de lui à quelqu’un d’autre comme s’il n’était pas là
C’est très humiliant, surtout quand ce sont des propos négatifs.
32- Ne pas lui demander son avis
Opérer des changements dans sa chambre, déménager, lui choisir des vêtements, etc., sans lui en parler avant est un manque de respect envers lui.
C’est lui imposer des choses sans considération pour lui.
En parler avec lui est l’occasion de lui expliquer, de le prévenir, etc.
En général
De manière générale, il est important d’éviter les douces violences car elles ont un impact négatif sur le développement du cerveau.
Il est important de penser qu’un enfant est un humain à part entière avec ses avis, ses choix, ses propres réflexions.
Il ne s’agit pas de le laisser faire tout ce qu’il veut, ou de lui laisser un tas de choix (car c’est mauvais aussi pour son cerveau), mais plutôt de lui montrer que ses idées comptent.
Bien sûr, il n’est pas question non plus de le laisser se mettre en danger.
Mais pensez bien que parfois, nous pensons que quelque chose ne se fait pas alors qu’en réalité, pourquoi pas. Tant qu’il n’y a pas de danger pour sa santé physique et mentale.
Si vous pensez à d’autres douces violences, n’hésitez pas à les rajouter en commentaires.
20 commentaires sur “Comment éviter ces 32 douces violences”
Je trouve le terme très mal choisi et erroné, il n’y a pas de « douces » violences, la violence est violente par définition. Dire cela c’est minimiser la violence qui est réelle. Par exemple, en ce qui concerne les humiliations citées, si elles sont répétées, quotidiennement (ce qui est souvent le cas quand ce type de discours est mis en place), alors cela crée un traumatisme, qui n’a rien de « doux » !
Merci pour ta remarque Karine, je suis d’accord avec toi.
Mais c’est une façon de dissocié les violences que tout le monde sait être violentes, des violences dont nous n’avons pas conscience. Elles sont malheureusement intégrées dans notre éducation et sont donc « ordinaires ».
Mais sur le fond tu a tout à fait raison.
Merci de votre réponse. Néanmoins, je ne crois pas qu’il y ait des violences que « tout le monde sait être violente ». Pour exemple, quand je vois dans la rue (ou les lieux publics) des parents qui frappent leur enfant et que je leur dis d’arrêter de le maltraiter, le parent me répond que ce n’est pas de la maltraitance, ni de la violence, ils nient en bloc et se croient dans leur droit de faire subir cela à l’enfant. Donc, tout le monde n’a pas encore conscience de la violence, ni physique, et, en effet, encore moins psychologique, mais cette dernière n’en reste pas moins traumatisante.
C’est vrai que ce sont des situations insoutenables et dans ce sens, l’expression « douce violence » n’est pas approprié. Les « violences éducatives ordinaires » semblent avoir plus de sens, et encore que… Mais il faut bien trouver un terme que tout le monde peut comprendre et sache de quoi on parle. On retrouve les problème sémantique avec l »éducation bienveillante » et d’autres. Certaines personnes n’accepteront jamais qu’une simple réflexion soit une véritable violence. Et je cherche avant tout à sensibiliser et informer sans « braquer » le lecteur car il serait hermétique à toute remise en question.
Mais je le redis encore, je suis d’accord avec vous: il ne faut pas minimiser les violences, même verbales.
Je comprends tout à fait votre positionnement dans le but de faire passer le message au plus grand nombre. Cependant, la vérité doit être dite, selon moi, même si elle est difficile à entendre. On peut expliquer que les violences verbales ont autant d’impact que les violences physiques, même si on en voit beaucoup plus, et expliquer aussi les répercussions sur le psychisme de l’enfant. Faire voir aux parents qu’ils disent ces mots et phrases par habitude et parce qu’ils les ont eux-mêmes subies enfant. C’est aussi à eux de se remettre en cause, et de toute façon, personne ne pourra le faire à leur place. C’est pourquoi je pense vraiment qu’il faut dire la vérité (d’ailleurs comme dans l’article), même si, au début, cela peut sembler déstabilisant pour le parent et le bousculer. La vérité est toujours à privilégier, selon moi.
J’ajouterai:
– le mettre sans le prévenir dans les bras de quelqu’un / le prendre sans verbaliser, lui demander son accord
– l’avoir ds les bras comme si c’était un objet, par exemple en regardant la tv, assez fort pour couvrir ses « bruits » et en le laissant regarder la tv alors que c’est un nourrisson
J’en ai encore d’autres en stock, comme nous tous parents car la violence commence dès la salle d’accouchement mais ceci est un autre débat. Même en tant que mère essayant d’être bienveillante, empathique, je sais que je connais des erreurs, alors que ma fille n’a que 4 mois, j’espère qu’elle me pardonnera plus tard. J’aime beaucoup cette citation d’Oscar Wilde : “Les enfants commencent par aimer leurs parents ; devenus grands, ils les jugent ; quelquefois, ils leur pardonnent.”
Bonjour Priscilla,
Effectivement on peut le rajouter à la liste.
Le coup de la TV je n’y avais pas du tout pensé car je n’ai pas la TV. Je ne me doutais pas certains parents faisaient ça…
Puis tu sais, personne n’est parfait. Alors même si tu fais des erreurs, tu en a conscience donc tu t’améliore toujours alors pourquoi ta fille ne te pardonnerai pas? Et même, pourquoi elle t’en voudrai? Tu fais de ton mieux et c’est ce qui est important.
Merci et belle journée 🙂
et aussi tous les « arrête ! » sans aucune explication ! qui finissent par faire des enfants très – trop dociles, voire soumis, et manquant de spontanéité par manque de liberté.
ps : pour info, il y a beaucoup de fautes d’orthographe dans l’article…
Oh oui, les « arrête »! Quelle horreur…
Rho punaise… encore des fautes? J’arrête pas d’en corriger… merci, je vais encore corriger 🙂
bonjour, je trouve votre article vraiment super claire et complet. je me permets de vous demander si vous m autorisez a prendre votre article comme support pédagogique lors d ‘une réunion avec des professionnels de l enfant en accueil de loisirs. Merci a vous
Bonjour,
Merci beaucoup.
Vous pouvez utiliser cet article bien sûr (en citant la source), si il peut aider, j’en serai très heureuse.
Bonne journée.
Bonjour,
Je ne suis pas formée en parentalité positive.
J´essaie juste d´être bienveillante en général, avec les autres, que ce soit des adultes ou des enfants. Mais ce que je trouve parfois difficile, c´est de ne pas souvent avoir de retour bienveillant en face. La société est dure; on a parfois l´impression que les gens veulent absolument gagner, être dans le contrôle, avoir le pouvoir.
De plus, ce n´est pas toujours évident d´être bienveillant quand on reçu une éducation très stricte, avec peu de liberté d´expression. Ce n´est pas évident de se remettre en question.
Belle journée
Bonjour,
Effectivement, choisir le chemin de la parentalité positive n’est pas de tout repos. Ce n’est pas un fonctionnement « logique » pour nous qui n’avons pas eu cet exemple bienveillant. Nous n’avons pas apprit à être bienveillant ni à nous remettre en question donc pas facile. Mais il faut voir ça comme du sport: au début on a du mal puis avec l’entrainement ça devient plus facile.
Courage, l’important c’est de commencer et d’avoir la volonté de changer.
Belle journée.
Pour Hy Karine: « douces violences » étant un oxymore (« obscure clarté » etc.), c’est un bon choix pour faire ressortir l’absurdité de ces façons de traiter les enfants. Il y a un livre qui en parle, c’est Vivre en crèche : Remédier aux douces violences de Christine Schuhl.
D’autres exemples: Ca va pas la tête ? Il y a aussi: Arrête de faire ton intéressant ! T’es pas belle (beau) quand tu pleures. T’es pas mignonne (traduire pas obéissante). Arrête tes caprices (variante: Avec nous ça marche pas les caprices). Toutes les étiquettes…
Très bon article mais c’est trop ! Je pense ! L’enfant va être sur protéger sur écouté on va lui donner une attention particulière… l’enfant va être c’est sur heureux se sentir bien écouter et compris! Il sera probablement un enfant sage mais. .. oui oui il y a un mais !!! L’enfant deviendra grand ! L’enfant va se retrouver da s une société » horrible » rempli d’injustice, de rébellion, de mensonge, et d’ordre a exécuter sans aucune explication… Je ne dit pas qu’il ne faut pas changer notre éducation je m’inspire énormément de l’éducation positive mais je suis Humaine… mais ma fille doit pouvoir être blinder aussi fasse a l’injustice au critique et à la non pédagogie car sinon plus tard elle va se prendre une claque de l’espace avec ce monde dans le quel on vie… no??? Il y a du pour et du contre il ne faut pas faite exprès d’être un peu maladroits mais il faut aussi que l’enfant puisse comprendre que l’humain n’est pas parfait il peu avoir des réaction bizarre et qu’il ne faut pas voir le mauvais côté des choses mais aussi qu’il faut qu’il fasse preuve d’indulgence lui aussi..
Bonsoir et merci pour cette remarque très pertinente.
En effet, moi aussi, à une époque, je pensais la même chose. Puis j’ai compris que justement, c’est en évitant ces violences que l’enfant va se blinder. Cela n’empêchera pas qu’il en subisse à l’extérieur mais il sera plus fort pour les affronter.
Il ne s’agit pas de tout lui épargner mais de le considérer comme un être à part entière que l’on respecte. C’est cela qui va lui donner la confiance en lui et la force pour affronter le monde.
Il ne s’agit pas non plus de le couper du monde et de lui raconter que tout est beau et rose. On peut expliquer aussi la réalité du monde (avec objectivité bien sûr) en disant que des personnes ont des attitudes violentes, certainement parce qu’elles souffrent, etc.
Les neurosciences ont démontré que les enfants élevés avec violence même douce, ont des parties du cerveau qui se développent moins bien. Ils ont du coup plus de mal à apprendre, ont du mal à se concentrer, etc.
Et puis sincèrement, même si le monde est cruel, nous pouvons éviter d’y participer. Chaque fois que nous épargnons des violences (même ordinaires) à nos enfants, nous contribuons à rendre ce monde moins horrible. Et qui sait, l’effet boule de neige pourrait fonctionner 🙂 Après tout les enfants sont les adultes de demain…
Belle soirée à vous et merci encore.
Bonjour,mon enfant souhaite manger son caca, s’agît t’il d’un douce violence si je l’en empêche, car si je m’en tiens à vos prérogatives, je ne doit pas le priver de ses choix. Merci de m’éclairer sur la situation.
Bonjour, je me suis permise de lire les commentaires après bien entendu avoir lu l’article. Je trouve personnellement que de dénoncer les violences douces ou p-e involontaires ne signifie pas que les personnes ont de mauvaises intentions en tout temps. Je trouve ça juste humain. Quand on pointe du doigt, on juge et c’est pas mieux. L’apprentissage est de mise et si l’on veut être bien traitant avec les enfants… pourquoi ne pas l’appliquer avec les adultes aussi.
Je me suis senti interpellé avec quelques points mentionnés dans l’article et ça me rappelle que c’est p-e pas la meilleure façon d’agir. C’est articles sont justement fait pour le développement personnel et de faire de nous de meilleures personnes… pas des personnes parfaites.
Je me souhaite d’avoir la soif de toujours vouloir m’améliorer et je la souhaite à vous tous ✨✨✨
Liste très intéressante de douces violences ; merci ! Cependant, il y a beaucoup de fautes d’orthographe dans le texte… et cela a comme impact de diminuer la crédibilité de l’article. N’hésitez pas à passer votre texte dans un correcteur !